50 Nouvelle (s) adulte (s)

Ancien rédacteur en chef des $$Cahiers du foot$$, D. Paganelli met en scène quelques faits divers souvent dramatiques, dans lesquels les footballeurs courageux ont payé au prix fort leur opposition à la tyrannie. Dans ces récits, les personnages fictifs côtoient des protagonistes tout à fait réels, figures du ballon rond ou des sphères du pouvoir.

Douze nouvelles sur le désespoir rural, les vies oblitérées par la misère, le manque d'éducation, la drogue. Les histoires se déroulent entre l'époque de la guerre de Sécession et nos jours dans le décor sauvage et somptueux des Appalaches, aux Etats-Unis.

Recueil de huit nouvelles sur la Seconde Guerre mondiale. Avec une présentation de l'auteure, de son écriture, deux études sur la guerre au coeur des nouvelles et la guerre et la mémoire, ainsi qu'un dossier contenant des pistes pour aller plus loin.

Ces nouvelles devaient à l'origine constituer les éléments d'un ensemble romanesque plus vaste. Largement autobiographiques, elles relatent la vie militaire et l'expérience de la guerre.

Quatre histoires mettant en scène des amours entre dieux ou demi-dieux et mortels.

Une rencontre avec un général tortionnaire dans une teinturerie, l'imminence d'un accouchement, Marguerite Duras au téléphone, des arbres séculaires arrachés, un conte de Noël qui tourne mal. En cinquante-deux nouvelles, l'auteure fait apparaître ce que V. Woolf appelait la seconde vie, celle qui se déroule derrière la vie officielle.

Les sujets rÂecurrents de l'Âecrivain, tels que les anciens combattants, la guerre ou la fascination pour l'Europe, sont dÂeveloppÂes dans ces neuf histoires qui racontent les dÂeconvenues de personnages inaccomplis dans les annÂees 1950 : une petite fille qui fait l'expÂerience de l'arbitraire, un contrÃoleur de gestion d'une firme new-yorkaise qui reÐcoit une cruelle leÐcon de management, etc.

Soixante rÂecits venus des quatre coins de la France, oÁu il est question d'amour et de tragÂedie, d'hÂeroÈisme et de peur : comment la vie ordinaire peut laisser place Áa un ÂevÁenement extraordinaire.

Alors l'instant enfui se visite à loisir. nous l'effleurons et le manquons, le retrouvons, son revenu d'absence émeut infiniment plus que ce que nous vivons dans le temps bref si vite confisqué. maintenant durable et compact, comprimé qu'il est dans le mince feuilleté du papier argentique, une durée qui ne demande qu'à se développer, à déployer ses plis atmosphériques et s'épanouir en rose vivante du souvenir.
Pour Essences, Anne-Marie Garat revisite l'alchimie de la photographie. Dans une chambre noire, le temps de la mémoire est arbitraire, les images révélées parfois inattendues. Et les odeurs inoubliables.

Dmes sensibles, s'abstenir ! Sauvages, puissants, dérangeants, crus, quinze textes portés par l'écriture rageuse de l'enfant terrible des lettres australiennes, pour continuer à nous interroger sur une société multiculturelle et décadente où couvent haine, racisme et frustration et où nous avançons, tels des dieux sans pitié. à Melbourne, à New York, en Jordanie et encore ailleurs, des années 1990 à nos jours. Chacun pour soi, qu'on le veuille ou non. Serait-ce ça la vie ? Quand les amitiés d'antan se brisent et laissent place à la vie d'adulte, aux contacts sporadiques et lointains ; quand l'œtre aimé apparaît sous un tout autre jour, que la colère laisse place à l'amertume, puis aux remords et à la peur d'œtre seul. Ce serait ça, la vie, des gens qui s'éloignent et qui s'aiment malgré tout, comme cette mère, perturbée de voir son fils devenir un homme ; comme ce jeune homo venu avec son compagnon au chevet de son père mourant du sida ; comme ce fils qui lave les fesses crottées de son père, malade d'Alzheimer... Ce serait ça, la vie, des étincelles d'humanité, dans la noirceur et la violence...