Au cours d'une hospitalisation pour une pathologie cardiaque, A. Kalouaz se remémore des souvenirs d'enfance comme celui de l'assassinat de son grand-père durant la guerre d'Algérie. Il évoque les chanteurs et les poètes qui l'accompagnent depuis longtemps, comme Louis Aragon, Guillaume Apollinaire, Léo Ferré et Jacques Bertin.