73 Pop (s) rock (s) international (s) (A) (s)

Ce pianiste, auteur-compositeur de renom puise ses influences dans diffÂerents genres musicaux dont le classique, le doo wop, le jazz, le blues ou encore le gospel. Tout cela a fait de lui un artiste incomparable et a contribuÂe Áa son immense succÁes. RedÂecouvrez cet album sortie en 1977 enrichi d'un dvd live.

Ce troisième album réussit un pari : conserver la furie contagieuse et reconnue du groupe en live tout en étant leur opus le plus pop. En somme, la machine à danser brille comme une boule à facette prête à dominer tous les dancefloor.

Dans l'histoire de la musique pop, ils ne sont pas si nombreux à y être parvenus. avoir compris qu' il fallait oser. Tenter. Parier. Qu'il fallait se réinventer pour ne pas sombrer dans une routine aussi confortable que détestable. Simon Buret et Olivier Coursier, unis par une complicité sans nulle autre pareille près d'une décennie après leur première rencontre, ont donc choisi de tout effacer. Pour mieux recommencer. We cut the night annonce la couleur dès son titre : ce troisième album est un disque nocturne, une oeuvre pour noctambules - réels, imaginaires, peu importe -, qui déambulent au gré de leurs appétences. Ces dix chansons pourraient former la bande originale fantasmée de ces flâneries. Une bande originale où l'électronique règne en maître, où des synthés vintage s'appuient sur des boîtes à rythmes d'un autre siècle, où des arrangements classiques flirtent avec des accents rétro-futuristes.

Le voilà enfin, l'album que des millions de personnes attendaient... Et il s'intitule tout simplement 25. Depuis son dernier single, l'oscarisé Skyfall (sur la b.o du James Bond du même nom), Adele s'était éclipsée de la scène musicale pour se recentrer sur sa famille loin, très loin des projecteurs. La rareté, une notion qui semble superflue pour une artiste d'aujourd'hui, est intrinsèque depuis les débuts d'Adele.

Aux punchlines faciles sur l'ombre et la lumière, les quatre rockeurs bordelais préfèrent le clair-obscur, officier en zone libre, à mille lieux de la fameuse scène rock bordelaise, entre riffs cinglants et douces mélodies. Adeptes des harmonies fouillées version Brian Wilson et des bandes originales d'Ennio Morricone, Alba Lua ne se prête guère au jeu des étiquettes. N'y voyez pas là de la fausse pudeur, mais bel et bien le casse-tête de jeunes artistes qui se foutent du chemin tant qu'ils flânent en mélodies. Comme le titre de leur premier album le laisse entendre, le groupe vit au rythme de ses propres saisons, entre rock fifties, pop onirique, lézardes rock garage et divagations psyché-folk.

Deux ans après la parution de leur premier album, Feel it break, passés sur les routes avec Gossip, The XX et Grimes, les six canadiens forment désormais un véritable groupe soudé autour de son emblématique chanteuse Katie Stelmanis. Alliant puissantes harmonies vocales, mélodies vertigineuses et électro habitée, Olympia est l'album de la métamorphose et marque une évolution significative, aussi bien au niveau du son plus maitrisé que de la structure du sextet de Toronto.

Que les fans désespérés de devoir attendre de longs mois avant de retrouver à nouveau la dream-pop savoureuse et planante des Beach House sèchent leurs larmes. Moins de deux mois après la sortie du très réussi Depression cherry, les deux esthètes de Baltimore reviennent avec leur sixième album studio ! Après avoir ravi le public et déclenché une myriade de critiques dithyrambiques sur le passage de leur dernier album, ils ont prouvé leurs talents en matière de pop pointue et magistrale. A peine remis de ses émotions, le public aura la chance de découvrir Thank your lucky stars, preuve cette fois-ci que le groupe n'est pas seulement maître en la matière, il est aussi génialement prolifique et surprenant.

Enregistré entre autres avec Jeremy Abbiss le producteur d'Adèle, la jeune musicienne anglaise nous offre un premier album où elle atteint des summums de délicatesse à travers une voix saisissante qui ne peut laisser indifférent.

Avec ce huitième album solo et quatre ans après Biophilia, l'islandaise exorcise les fantômes de sa séparation amoureuse. Ce disque a été écrit, produit et enregistré en collaboration avec le producteur Vénézuelien Arca (Kanye West, FKA Twigs) et le musicien anglais The Haxan Cloak. Album étymologiquement thérapeutique - du latin "vulnus, "blessure" et "cura", "soin" -, Vulnicura voit, en effet, la madone de l'avant-garde décrypter cet échec amoureux avec la précision d'une anthropologue autant qu'avec la passion d'une femme meurtrie. Elle explique que Vulnicura porte sur sa rupture amoureuse avec l'artiste Matthew Barney.